Bonjour,
The Nightingale (le rossignol) de la réalisatrice australienne Jennifer Kent ...
Sujet : Une voleuse / bagnarde (on ne sait pas trop) d'origine irlandaise vit sous le joug de son "juge de tutelle" (un soldat de l'armée britannique) dans une province australienne...
Sa peine, a priori, effectuée, ce dernier ne veut la libérer et après un shmilblik de situations humiliantes envers ce soldat, celui-ci décide de se venger...
En découle une scène digne du "vieux fusil" avec, en plus, la mort du conjoint de l'irlandaise et de son bébé...
Réjouissant !!
Les soldats concernés par la tuerie, s'offrent une ballade à travers la forêt tropicale pour accompagner et aider leur officier, violeur et tueur, a obtenir une promotion dans une ville un peu éloignée...
Mais la petite irlandaise ne l'entend pas ainsi et décide de les poursuivre pour les éliminer...Pour se venger, quoi!!
Aidée d'un aborigène dont elle exècre l'existence, ce dernier haïssant au plus haut point les envahisseurs blancs, la chasse est lancée...
Oui, parce-qu'il faut comprendre que celle qui subit les meurtrissures / violences de la part des soldats britanniques, car considérée comme une "merde" (Faut employer le mot, désolé) , est elle-même une suprémaciste convaincue.
En résumé, lorsque vous êtes "dernier de cordée", en dessous de vous, il y a encore celle ou celui qui fabrique la corde...
Oui mais voilà, celui qui confectionne cette corde peut très bien oublier quelques torsades...
Et du coup votre sécurité en dépend...
Mais attention !! : "Si tu rates la corde...Ne rate pas le pendu"...(Le bon, la brute et le truand)
Bon, il y a plusieurs scènes difficilement tenables, après l'histoire en elle même, c'est malheureusement du réchauffé et ce long (trop long) métrage n'apporte rien de plus...
Même en format 4/3...Oui, parce qu'il est en format 4/3...
D'ailleurs, par moments, on croit à un téléfilm des années 90'...
D'ailleurs (bis), comme dans la série "Lost", malgré une forêt humide et dense, étalée sur des centaines et des centaines de kilomètres carrés...Tout le monde fini par se croiser et se re-croiser...
Je ne comprends pas tous ces aventuriers /explorateurs, qui se sont égarés ou ont, tout simplement, disparu, corps et âmes...
Bref...A voir...Sans plus...
The Nightingale (le rossignol) de la réalisatrice australienne Jennifer Kent ...
Sujet : Une voleuse / bagnarde (on ne sait pas trop) d'origine irlandaise vit sous le joug de son "juge de tutelle" (un soldat de l'armée britannique) dans une province australienne...
Sa peine, a priori, effectuée, ce dernier ne veut la libérer et après un shmilblik de situations humiliantes envers ce soldat, celui-ci décide de se venger...
En découle une scène digne du "vieux fusil" avec, en plus, la mort du conjoint de l'irlandaise et de son bébé...
Réjouissant !!
Les soldats concernés par la tuerie, s'offrent une ballade à travers la forêt tropicale pour accompagner et aider leur officier, violeur et tueur, a obtenir une promotion dans une ville un peu éloignée...
Mais la petite irlandaise ne l'entend pas ainsi et décide de les poursuivre pour les éliminer...Pour se venger, quoi!!
Aidée d'un aborigène dont elle exècre l'existence, ce dernier haïssant au plus haut point les envahisseurs blancs, la chasse est lancée...
Oui, parce-qu'il faut comprendre que celle qui subit les meurtrissures / violences de la part des soldats britanniques, car considérée comme une "merde" (Faut employer le mot, désolé) , est elle-même une suprémaciste convaincue.
En résumé, lorsque vous êtes "dernier de cordée", en dessous de vous, il y a encore celle ou celui qui fabrique la corde...
Oui mais voilà, celui qui confectionne cette corde peut très bien oublier quelques torsades...
Et du coup votre sécurité en dépend...
Mais attention !! : "Si tu rates la corde...Ne rate pas le pendu"...(Le bon, la brute et le truand)
Bon, il y a plusieurs scènes difficilement tenables, après l'histoire en elle même, c'est malheureusement du réchauffé et ce long (trop long) métrage n'apporte rien de plus...
Même en format 4/3...Oui, parce qu'il est en format 4/3...
D'ailleurs, par moments, on croit à un téléfilm des années 90'...
D'ailleurs (bis), comme dans la série "Lost", malgré une forêt humide et dense, étalée sur des centaines et des centaines de kilomètres carrés...Tout le monde fini par se croiser et se re-croiser...
Je ne comprends pas tous ces aventuriers /explorateurs, qui se sont égarés ou ont, tout simplement, disparu, corps et âmes...
Bref...A voir...Sans plus...