Salute...
"Free Guy", que l'on pourrait traduire par "libérez Guy", vu que c'est un prénom, mais aussi par "le mec libre"...car "Guy" a bien évidemment une double signification dans le contexte du film...
Un mec anodin, figurant dans un jeu vidéo type "Fortnite" (ou autre), un PNJ (Personnage Non Joueur), mais également Guy avec une
majuscule, car du protagoniste lambda, bouc émissaire des joueurs "physiques" assis devant leurs écrans, il gagnera le statut de meilleur "gamer" en explosant tous les scores...
P.N.J pourrait également être l'acronyme de "Personne Non Justiciable"...Car, de fait, ils ne possèdent et n'exercent aucuns droits...Si ce n'est, celui de prendre les coups et de se taire...
Film de Shawn Levy, auquel je fais une "bonne" pub "ICI", au sujet d'un autre film...
A posteriori, dans le cinéma, on est plus enclin à pinailler sur ce que l'on réalise, plutôt que sur ceux que l'on produit...
Bref...Passons...
Alors, bien évidement, sans forcer notre imaginaire, la comparaison avec l'oeuvre de Steven Spielberg, le "pop movie" "Ready Player One" coule de source...
Trop facilement...Car ici, un peu comme le message délivré par la série "Squid game", le pixel se transforme en "chair et en os"...Du moins en conscience...
Ce n'est pas une quête pour avoir l'hégémonie sur un monde virtuel, mais une recherche de l'éveil, du dépassement de son intellect pré-programmé/formaté...Adam qui croque la pomme quoi !!
Face à tous ces "dieux", violents et hautains qui tombent du ciel...
Et puis, d'ailleurs, ça me rappelle une anecdote :
- Lorsque je jouais à "Call of duty : Modern Warfare" (2ème du nom)...
Il y a une mission, dans laquelle, votre personnage, infiltré dans un groupuscule terroriste, doit occire les personnes arpentant les allées d'un aéroport...
J'ai effectué la mission sans tirer sur un seul civil...Je prenais même le temps, en toute discrétion, de descendre quelques "collègues" participants au massacre...
Des PNJ eux aussi, mais privilégiés, car les balles n'avaient aucun effet sur eux...De plus, que vous participiez ou non à la mission, cela ne changeait rien à son terme...
Car vous ne pouvez vous soustraire au programme imaginé par d'autres "cerveaux". Une intelligence "artificielle" ou considérée comme telle, comprends la notion de la porte fermée ou ouverte, mais pas "entrebâillée"...
C'est là que "Guy", interfère, car il dépasse les espérance des concepteurs est s'octroie sa propre autonomie intellectuelle...
En agissant autrement, de surcroît...
En libérant ces compères, les autre PNJ, du joug des gamers à la violence exacerbée par tant de facilité à éliminer du "pixel"...
Pour moi ce film est une réussite, si l'on prend le temps de se pencher sur son message...Si on le regarde par dessus la jambe, c'est un énième "Tron"...(J'ai pas dit un énième "étron")
Et d'ailleurs, ce n'est certainement pas par hasard que Taika Waititi y participe...Le personnage imaginaire dans "Jojo Rabbit", évoluant quant à lui, dans la folie meurtrière d'un monde
bien réel, n'est pas exempt de quelques similitudes...
"Free Guy" et un monde virtuel dans lequel évoluent des consciences "humaines"...Mais comme le gamin dans "Jojo Rabbit", leur "avatar/skin" est à l'image de leurs croyances, convictions, de ce qu'ils auraient aimé être...
Et, parfois, cela tourne à une "auto fascination du pire"...
Bref...Tout ça pour dire que ce film est bon, réjouissant, frais, pas dénué d'humour et bien entendu, pas dénué d'hommages à la "pop culture"...Cela va de soi...
Ryan Reynolds excelle dans ce genre de rôle "barré" à la "Deadpool"...
Ou le moins connu, mais, pour moi, son rôle le plus accompli, celui de Jerry Hickfang, M. Moustache, Bosco, Deer et Bunny Monkey dans "The voices" (2014)
réalisé par l'excellentissime Marjane Satrapi (Persépolis)...
A voir, en se disant bien, que même si ce sont des gros, gros co**, nos voisins ne sont pas des PNJ...Quoique...
@+

"Free Guy", que l'on pourrait traduire par "libérez Guy", vu que c'est un prénom, mais aussi par "le mec libre"...car "Guy" a bien évidemment une double signification dans le contexte du film...
Un mec anodin, figurant dans un jeu vidéo type "Fortnite" (ou autre), un PNJ (Personnage Non Joueur), mais également Guy avec une
majuscule, car du protagoniste lambda, bouc émissaire des joueurs "physiques" assis devant leurs écrans, il gagnera le statut de meilleur "gamer" en explosant tous les scores...
P.N.J pourrait également être l'acronyme de "Personne Non Justiciable"...Car, de fait, ils ne possèdent et n'exercent aucuns droits...Si ce n'est, celui de prendre les coups et de se taire...

Film de Shawn Levy, auquel je fais une "bonne" pub "ICI", au sujet d'un autre film...

A posteriori, dans le cinéma, on est plus enclin à pinailler sur ce que l'on réalise, plutôt que sur ceux que l'on produit...

Bref...Passons...

Alors, bien évidement, sans forcer notre imaginaire, la comparaison avec l'oeuvre de Steven Spielberg, le "pop movie" "Ready Player One" coule de source...
Trop facilement...Car ici, un peu comme le message délivré par la série "Squid game", le pixel se transforme en "chair et en os"...Du moins en conscience...
Ce n'est pas une quête pour avoir l'hégémonie sur un monde virtuel, mais une recherche de l'éveil, du dépassement de son intellect pré-programmé/formaté...Adam qui croque la pomme quoi !!
Face à tous ces "dieux", violents et hautains qui tombent du ciel...
Et puis, d'ailleurs, ça me rappelle une anecdote :
- Lorsque je jouais à "Call of duty : Modern Warfare" (2ème du nom)...
Il y a une mission, dans laquelle, votre personnage, infiltré dans un groupuscule terroriste, doit occire les personnes arpentant les allées d'un aéroport...
J'ai effectué la mission sans tirer sur un seul civil...Je prenais même le temps, en toute discrétion, de descendre quelques "collègues" participants au massacre...
Des PNJ eux aussi, mais privilégiés, car les balles n'avaient aucun effet sur eux...De plus, que vous participiez ou non à la mission, cela ne changeait rien à son terme...
Car vous ne pouvez vous soustraire au programme imaginé par d'autres "cerveaux". Une intelligence "artificielle" ou considérée comme telle, comprends la notion de la porte fermée ou ouverte, mais pas "entrebâillée"...
C'est là que "Guy", interfère, car il dépasse les espérance des concepteurs est s'octroie sa propre autonomie intellectuelle...
En agissant autrement, de surcroît...
En libérant ces compères, les autre PNJ, du joug des gamers à la violence exacerbée par tant de facilité à éliminer du "pixel"...
Pour moi ce film est une réussite, si l'on prend le temps de se pencher sur son message...Si on le regarde par dessus la jambe, c'est un énième "Tron"...(J'ai pas dit un énième "étron")

Et d'ailleurs, ce n'est certainement pas par hasard que Taika Waititi y participe...Le personnage imaginaire dans "Jojo Rabbit", évoluant quant à lui, dans la folie meurtrière d'un monde
bien réel, n'est pas exempt de quelques similitudes...
"Free Guy" et un monde virtuel dans lequel évoluent des consciences "humaines"...Mais comme le gamin dans "Jojo Rabbit", leur "avatar/skin" est à l'image de leurs croyances, convictions, de ce qu'ils auraient aimé être...
Et, parfois, cela tourne à une "auto fascination du pire"...

Bref...Tout ça pour dire que ce film est bon, réjouissant, frais, pas dénué d'humour et bien entendu, pas dénué d'hommages à la "pop culture"...Cela va de soi...

Ryan Reynolds excelle dans ce genre de rôle "barré" à la "Deadpool"...
Ou le moins connu, mais, pour moi, son rôle le plus accompli, celui de Jerry Hickfang, M. Moustache, Bosco, Deer et Bunny Monkey dans "The voices" (2014)
réalisé par l'excellentissime Marjane Satrapi (Persépolis)...
A voir, en se disant bien, que même si ce sont des gros, gros co**, nos voisins ne sont pas des PNJ...Quoique...

@+

